Les établissements dans lesquels la PEEP est présente
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JEAN PAUL SARTRE Dardilly
HORTICOLE DE DARDILLY Dardilly
FRANCOIS RABELAIS ET CFA Décines – Charpieu
CHARLIE CHAPLIN Lyon 1
LA MARTINIERE TERREAUX DIDEROT Lyon 2
RECAMIER Lyon 2
AMPERE BOURSE et AMPERE SAXE Lyon 3
LACASSAGNE Lyon 4
ANTOINE DE SAINT EXUPERY Lyon 5
SAINT JUST Lyon 5
EDOUARD BRANLY Lyon 6
EDOUARD HERRIOT Lyon 6 LYCEE DU PARC Lyon 7
CITE SCOLAIRE INTERNATIONALE Lyon 8
LA MARTINIERE MONPLAISIR Lyon 9
JEAN PERRIN Lyon 9
LA MARTINIERE DUCHERE Neuville s/Saône ROSA PARKS Oullins
PARC CHABRIERES EDMOND LABBE Pro Rillieux la Pape LYCÉE POLYVALENT CAMUS-SERMENAZ Sain Bel
LYCEE SAIN BEL St Genis Laval
DESCARTES St Priest
CONDORCET Tassin/Charbonnières
BLAISE PASCAL Vaulx en Velin
ROBERT DOISNEAU Vénissieux
MARCEL SEMBAT Vénissieux
JACQUES BREL Villeurbanne
PIERRE BROSSOLETTE Villeurbanne
FREDERIC FAYS
« Choc des savoirs » acte II ! A peine un an après le lancement du « Choc des savoirs » par le ministre de l’Education nationale de l’époque, Gabriel Attal, un nouvel « acte » se prépare, avec, à la manœuvre, Anne Genetet, en poste depuis le 21 septembre.
Factuellement, à cause des turbulences politiques que traverse notre pays depuis le printemps, cette réforme n’a été mise en œuvre que très partiellement ; la plupart des mesures ayant été repoussées (nouveaux programmes, labellisation des manuels scolaires, rénovation du brevet…). La nouvelle ministre de l’Education nationale reprend donc le flambeau avec cet « acte II », pour lequel on notera, sur la forme, un étalement du calendrier d’application des mesures (le brevet, notamment), et, sur le fond, un allègement de certaines d’entre elles (les groupes de besoins, en particulier).
Comme nous le demandions déjà l’an passé avec le lancement du « Choc des savoirs » – dont on ne peut que partager l’ambition, celle d’élever le niveau des élèves –, cette batterie de mesures ne pourra montrer son efficacité que si les moyens humains et financiers sont au rendez-vous, en particulier en ce qui concerne l’organisation des groupes de besoins au collège. Dans un contexte budgétaire que chacun connaît, le doute peut être de mise… Et pourtant, il en va de l’avenir de nos enfants – et de notre pays – ; un avenir qui se construit à l’école."