Quelle orientation après la Troisième ou la Seconde ?
L’heure du choix va bientôt sonner pour des milliers de collégiens et de lycéens. Pour les élèves de 3e : seconde générale et technologique ou seconde professionnelle ou 1 re année de cAP ou encore seconde spécifique (hôtellerie, musique - danse) ?
Pour les élèves de seconde générale et technologique : première générale (avec quelles spécialités ?) ou première technologique (quelle série ?) ? des choix qui vont s’opérer naturellement pour nombre d’élèves dont les souhaits sont en correspondance avec leurs résultats scolaires ; pour les autres, ceux qui sont indécis ou qui ont un niveau qui peut être jugé insuffisant pour certaines formations, la question du choix d’orientation va se poser avec acuité.
Quelle que soit la voie d’études envisagée, s’informer (formations, débouchés, passerelles...) reste indispensable ; une bonne information est un préalable à une bonne orientation. Un processus dans lequel plusieurs interlocuteurs peuvent intervenir, ainsi que les parents, dont le soutien et l’accompagnement sont un atout précieux pour le jeune.
Les prochains webinaires du Groupe Prévention Santé,
Le Groupe Santé Prévention (GSP) de la PEEP propose 3 visioconférences au mois de mars : 3 thèmes
- "J'accompagne mon enfant en situation de handicap"
- "Sommeil de l'enfant et temps d'écran"
- "Une approche par le jeu de société"
« Choc des savoirs » acte II ! A peine un an après le lancement du « Choc des savoirs » par le ministre de l’Education nationale de l’époque, Gabriel Attal, un nouvel « acte » se prépare, avec, à la manœuvre, Anne Genetet, en poste depuis le 21 septembre.
Factuellement, à cause des turbulences politiques que traverse notre pays depuis le printemps, cette réforme n’a été mise en œuvre que très partiellement ; la plupart des mesures ayant été repoussées (nouveaux programmes, labellisation des manuels scolaires, rénovation du brevet…). La nouvelle ministre de l’Education nationale reprend donc le flambeau avec cet « acte II », pour lequel on notera, sur la forme, un étalement du calendrier d’application des mesures (le brevet, notamment), et, sur le fond, un allègement de certaines d’entre elles (les groupes de besoins, en particulier).
Comme nous le demandions déjà l’an passé avec le lancement du « Choc des savoirs » – dont on ne peut que partager l’ambition, celle d’élever le niveau des élèves –, cette batterie de mesures ne pourra montrer son efficacité que si les moyens humains et financiers sont au rendez-vous, en particulier en ce qui concerne l’organisation des groupes de besoins au collège. Dans un contexte budgétaire que chacun connaît, le doute peut être de mise… Et pourtant, il en va de l’avenir de nos enfants – et de notre pays – ; un avenir qui se construit à l’école."