Composée de parents d’étudiants et de lycéens, PEEP Sup met toute son énergie pour accompagner les lycéens dans leur projet d’orientation.
Notre rôle
Parce que le choix de son avenir professionnel est important et se prépare
Le passage du statut de lycéen à celui d’étudiant implique de nombreux changements.
PEEP SUP est là pour répondre à toutes ces interrogations. PEEP SUP est la seule association de parents d’étudiants qui peut vous aider.
Peep Sup propose
23 conférences destinées aux lycéens futurs étudiants et à leurs parents. Elles sont organisées par des parents Peep Sup, tous bénévoles et animées par des intervenants qualifiés.
L’objectif est d’apporter des témoignages et des informations fiables, sur l’enseignement supérieur, les modes de formation, les filières, les débouchés et les métiers.
Comment se passent les conférences ?
2 heures d’échange avec des professeurs, des étudiants en cours de formation et des professionnels qui partagent leur expertise et leur expérience.
Chaque conférence Peep Sup est l’occasion unique de se projeter concrètement au-delà du Bac et de confronter ses connaissances, envies et capacités aux profils des candidats qui réussissent.
Comment y participer ?
En réglant la cotisation de 9 € en complément de votre adhésion sur le site www.peep-rhone.fr organisées en visioconférences les mercredis de 19h30 à 21h30, de septembre à décembre.
Chaque semaine : une annonce Facebook et une Newsletter (mail) vous rappellent le lieu, l’horaire et l’accès et vous donnent des informations sur les intervenants.
Contacts
PEEP Sup Ain-Rhône-Loire, 34 Rue Viret – 69100 VILLEURBANNE
contactpeepsuplyon@gmail.com facebook
« Choc des savoirs » acte II ! A peine un an après le lancement du « Choc des savoirs » par le ministre de l’Education nationale de l’époque, Gabriel Attal, un nouvel « acte » se prépare, avec, à la manœuvre, Anne Genetet, en poste depuis le 21 septembre.
Factuellement, à cause des turbulences politiques que traverse notre pays depuis le printemps, cette réforme n’a été mise en œuvre que très partiellement ; la plupart des mesures ayant été repoussées (nouveaux programmes, labellisation des manuels scolaires, rénovation du brevet…). La nouvelle ministre de l’Education nationale reprend donc le flambeau avec cet « acte II », pour lequel on notera, sur la forme, un étalement du calendrier d’application des mesures (le brevet, notamment), et, sur le fond, un allègement de certaines d’entre elles (les groupes de besoins, en particulier).
Comme nous le demandions déjà l’an passé avec le lancement du « Choc des savoirs » – dont on ne peut que partager l’ambition, celle d’élever le niveau des élèves –, cette batterie de mesures ne pourra montrer son efficacité que si les moyens humains et financiers sont au rendez-vous, en particulier en ce qui concerne l’organisation des groupes de besoins au collège. Dans un contexte budgétaire que chacun connaît, le doute peut être de mise… Et pourtant, il en va de l’avenir de nos enfants – et de notre pays – ; un avenir qui se construit à l’école."
