Le diplôme national du brevet évalue les connaissances et les compétences acquises à la fin du collège. Il est rééquilibré entre évaluation du socle (contrôle continu) et épreuves finales. Chaque discipline évaluée fait l'objet d'une épreuve distincte, sauf en sciences (deux disciplines) et d'une épreuve orale pour les candidats scolaires.
Épreuves écrites communes
Les épreuves écrites du diplôme national du brevet communes à tous les candidats auront lieu les Jeudi 26 et Vendredi 27 juillet 2025 pour la session normale et les Lundi 8 et Mardi 9 septembre 2025 pour la session de remplacement (heure de Paris).
Épreuve écrite spécifique
L'épreuve de langue vivante étrangère spécifique aux candidats à titre individuel se tiendra le Vendredi 27 juin 2025 pour la session normale et Mardi 9 septembre 2025 pour la session de remplacement.
« Choc des savoirs » acte II ! A peine un an après le lancement du « Choc des savoirs » par le ministre de l’Education nationale de l’époque, Gabriel Attal, un nouvel « acte » se prépare, avec, à la manœuvre, Anne Genetet, en poste depuis le 21 septembre.
Factuellement, à cause des turbulences politiques que traverse notre pays depuis le printemps, cette réforme n’a été mise en œuvre que très partiellement ; la plupart des mesures ayant été repoussées (nouveaux programmes, labellisation des manuels scolaires, rénovation du brevet…). La nouvelle ministre de l’Education nationale reprend donc le flambeau avec cet « acte II », pour lequel on notera, sur la forme, un étalement du calendrier d’application des mesures (le brevet, notamment), et, sur le fond, un allègement de certaines d’entre elles (les groupes de besoins, en particulier).
Comme nous le demandions déjà l’an passé avec le lancement du « Choc des savoirs » – dont on ne peut que partager l’ambition, celle d’élever le niveau des élèves –, cette batterie de mesures ne pourra montrer son efficacité que si les moyens humains et financiers sont au rendez-vous, en particulier en ce qui concerne l’organisation des groupes de besoins au collège. Dans un contexte budgétaire que chacun connaît, le doute peut être de mise… Et pourtant, il en va de l’avenir de nos enfants – et de notre pays – ; un avenir qui se construit à l’école."